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Les détecteurs



Les détecteurs font partie de la famille des capteurs, leur fonction est de détecter la présence d’un objet, 
l’information en sortie d’un détecteur est donc de typebinaire.

Exemples d’utilisation
- la détection de la positiondes palettes porte pièces 
- la détection de la présence ou de l’absence des composants de base au niveau des postes de travail. 
- la détection de la position des actionneurs 
- la détection de videsur la tête de capuchonnage. 
- La détection de la présence de colis 



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  • cours de détecteurs 
  • détecteurs PDF 



Les détecteurs pdf

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Les détecteurs



Les détecteurs font partie de la famille des capteurs, leur fonction est de détecter la présence d’un objet, 
l’information en sortie d’un détecteur est donc de typebinaire.

Exemples d’utilisation
- la détection de la positiondes palettes porte pièces 
- la détection de la présence ou de l’absence des composants de base au niveau des postes de travail. 
- la détection de la position des actionneurs 
- la détection de videsur la tête de capuchonnage. 
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Cours décodage d'adresse 



Salut mais chère amie aujourd'hui je vous présent un cour sur le décodage d'adresse dans lequel en parler sur les étapes suivant:

  1. la fiche technique
  2. connexion d'une boitier au BUS de données
  3. le Décodage D'adresses sur la maquette SDK85
  4. Fonctionnement d 'un décodeur 3 vers 8 type 8205 ou 74HC138
  5. le décodeur d'adresses de la maquette SDK85
  6. Comment faire un décodeur plus fin 
  7. Remarques a propos du décodage d'adresses
  8. Exemple de décodage d'adresses avec pal
  9. le décodage d'adresse






Mot-clé:

  • architecture d'ordinateur
  • architecture d'un microprocesseur
  • bus d'ordinateur
  • carte mémoire téléphone
  • 7805 datasheet
  • pro grammer


Cours décodage d'adresse

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Cours décodage d'adresse 



Salut mais chère amie aujourd'hui je vous présent un cour sur le décodage d'adresse dans lequel en parler sur les étapes suivant:

  1. la fiche technique
  2. connexion d'une boitier au BUS de données
  3. le Décodage D'adresses sur la maquette SDK85
  4. Fonctionnement d 'un décodeur 3 vers 8 type 8205 ou 74HC138
  5. le décodeur d'adresses de la maquette SDK85
  6. Comment faire un décodeur plus fin 
  7. Remarques a propos du décodage d'adresses
  8. Exemple de décodage d'adresses avec pal
  9. le décodage d'adresse






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  • architecture d'ordinateur
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  • carte mémoire téléphone
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Cours : Programmation du PIC en C




  • les types de données, et les délais temporels.
  • la programmation I/O.
  • les opérations logiques AND, OR, XOR, inverseur, et le décalage.
  • les conversion ASCII et BCD.
  • la sérialisation des données pour les PIC18.

Nous allons voir aussi comment le compilateur C18 utilise le programme ROM pour sauvegarder les données. Nous allons aussiexaminer comment le compilateur C18 traitel’allocation des données RAM.






Identifier: programmation, pic, microcontroleur, cours, pdf, compilateur, automatisme, informatique industrielle, automate programable 



Cours: Programmation du PIC en C

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Cours : Programmation du PIC en C




  • les types de données, et les délais temporels.
  • la programmation I/O.
  • les opérations logiques AND, OR, XOR, inverseur, et le décalage.
  • les conversion ASCII et BCD.
  • la sérialisation des données pour les PIC18.

Nous allons voir aussi comment le compilateur C18 utilise le programme ROM pour sauvegarder les données. Nous allons aussiexaminer comment le compilateur C18 traitel’allocation des données RAM.






Identifier: programmation, pic, microcontroleur, cours, pdf, compilateur, automatisme, informatique industrielle, automate programable 



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Les fonctions de l'électronique



Grâce aux composants électroniques il est possible de créer ou modifier des signaux électriques , tension ou courant fonction du temps. Créer des signaux c'est le rôle des générateurs.
Ces signaux peuvent être fonction du temps, sinusoïdaux ou non d'amplitude et fréquence définies . Les alimentations sont des générateurs qui fournissent des tensions ou courants constants,leur comportement se rapproche de celui des sources idéales de courant ou tension. La modification des paramètres d'un signal est assurée par les amplificateurs ou les filtres harmoniques .
Ces fonctions sont mises à profit en particulier pour transmettre sur des fils ou par voie hertzienne des signaux transportant de l'information. C'est l'électronique des télécommunications qui a connu depuis quelques décennies des progrès foudroyants. Cette seconde partie de cours est consacrée à la description de ces fonctions.

Sommaire :
  1. Les filtres harmoniques
    • Généralités
    • Prototypes passe bas
    • Filtres passifs
    • Filtres actifs
    • Filtres à commutation
    • Filtres numériques
  2. Amplificateurs et Générateurs
    • Amplificateurs
    • Alimentations linéaires
    • Alimentations à découpage
    • Les oscillateurs
    • Synthèsede fréquence
  3. Télécommunications
    • Modulations d'amplitude
    • Modulations angulaires
    • Modulations analogiques d'impulsions
    • MIC et Modulation delta
    • Modulations numériques



Mot-clé:
  • électronique pratique
  • automatisme
  • exercice pratique d'électronique
  • Apprendre l'électronique
  • Travaux pratiques d'électronique

  • Principes d'électronique

  • Cours et Montages Électronique


Les fonctions de l'électronique

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Les fonctions de l'électronique



Grâce aux composants électroniques il est possible de créer ou modifier des signaux électriques , tension ou courant fonction du temps. Créer des signaux c'est le rôle des générateurs.
Ces signaux peuvent être fonction du temps, sinusoïdaux ou non d'amplitude et fréquence définies . Les alimentations sont des générateurs qui fournissent des tensions ou courants constants,leur comportement se rapproche de celui des sources idéales de courant ou tension. La modification des paramètres d'un signal est assurée par les amplificateurs ou les filtres harmoniques .
Ces fonctions sont mises à profit en particulier pour transmettre sur des fils ou par voie hertzienne des signaux transportant de l'information. C'est l'électronique des télécommunications qui a connu depuis quelques décennies des progrès foudroyants. Cette seconde partie de cours est consacrée à la description de ces fonctions.

Sommaire :
  1. Les filtres harmoniques
    • Généralités
    • Prototypes passe bas
    • Filtres passifs
    • Filtres actifs
    • Filtres à commutation
    • Filtres numériques
  2. Amplificateurs et Générateurs
    • Amplificateurs
    • Alimentations linéaires
    • Alimentations à découpage
    • Les oscillateurs
    • Synthèsede fréquence
  3. Télécommunications
    • Modulations d'amplitude
    • Modulations angulaires
    • Modulations analogiques d'impulsions
    • MIC et Modulation delta
    • Modulations numériques



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  • Principes d'électronique

  • Cours et Montages Électronique


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les onduleurs autonomes





Introduction :

Les onduleurs sont les convertisseurs statiques continu alternatif permettant de fabriquer une source de tension alternative à partir d’une source de tension continue.
Le signal alternatif en sortie peut être sinusoïdal ou non de fréquence fixe ou variable.
La figure montre le schéma symbolique de l’onduleur.

les onduleurs autonomes
Comme on l’a vu au chapitre 2 (Les Redresseurs), un redresseur commandé tout thyristors peut fonctionner en onduleur. Ce type d’onduleur est dit   « non autonome » ou encore « assisté » car il ne permet de fixer ni la fréquence ni la valeur efficace des tensions du réseau alternatif dans lequel il débite. On se propose dans ce chapitre d’étudier les onduleurs autonomes. Ces derniers fixent eux-mêmes la fréquence et la valeur efficace de leur tension de sortie.

Les onduleurs sont utilisés principalement dans deux types de systèmes :

— Les ASI : alimentations sans interruption, (UPS : uninterruptible supply system en anglais). Elles servent le plus souvent d’alimentation de secours pour des systèmes informatiques. La source de tension continue est généralement constituée d’une batterie d’accumulateurs. La fréquence et l’amplitude de la tension de sortie sont fixes.
— Les variateurs de vitesse pour machines asynchrones. La source continue est obtenue par redressement du réseau. La fréquence et l’amplitude de la tension de sortie sont variables.


A/GENERALITES :

Les onduleurs autonomes se classent en deux groupes :
·       Onduleurs à fréquence fixe. Ceux-ci sont utilisés comme alimentation de sécurité dans le centre hospitaliers, les centrales téléphoniques, les ordinateurs, etc. Ces onduleurs sont alimentés à partir d’une batterie d’accumulateurs.
·       Onduleurs à fréquence variable. Ceux-ci sont alimentés en courant continu à partir du réseau alternatif par l’intermédiaire d’un redresseur. Ils fournissent des tensions de fréquence et d’amplitude variables utilisées pour contrôler la vitesse de moteurs à courant alternatif.


Les onduleurs autonomes se classent aussi d’après la forme d’onde de leur tension de sortie :
·       Onduleurs à onde rectangulaire : L’onde de sortie est rectangulaire. L’amplitude de l’onde de sortie dépend de la valeur de la tension d’entrée. 


les onduleurs autonomes

·       Onduleurs en créneaux de largeur variable : L’onde de sortie est constituée par des créneaux rectangulaires alternatifs et séparés par une zone morte à tension nulle. La tension de sortie varie si on agit sur la durée des créneaux. 


les onduleurs autonomes
·       Onduleurs à modulation d’impulsion (PWM) : L’onde de sortie est formée de trains d’impulsions positifs et négatifs, de largeur et d’espacement variable.  La résultante de la forme de sortie se rapproche d’une sinusoïde.


B/ONDULEUR MONOPHASÉ NON ISOLÉ EN DEMI PONT :

1/ Débit sur charge résistive :

les onduleurs autonomes



Les deux condensateurs constituent un diviseur de tension. Si leurs capacités sont assez élevées, la tension aux bornes de chacun serait constante et égale à E/2.
La charge est constituée d’une résistance pure.
Lorsque le transistor T1 est conducteur, la charge voit une tension Vch=E/2.
Lorsque le transistor T2 est conducteur, la charge voit une tension Vch=-E/2.
Si les transistors conduisent pendant les mêmes intervalles de temps, la commande est dite symétrique.
La tension Vch est alors rectangulaire. Le courant Ich possède la même forme.
les onduleurs autonomes

2/ Débit sur charge inductive (Charge RL) :
les onduleurs autonomes

On met des diodes en parallèle avec les transistors. Leur rôle est d’assurer la continuité de courant. En effet, une charge inductive ne supporte pas l’interruption brusque de courant. Ainsi, après le blocage de T1 le courant Ich continue à circuler à travers la diode D2 qui conduit spontanément.
Lorsque le transistor T1 conduit, la charge voit une tension Vch=E/2.
Le courant Ich croît exponentiellement selon une constante de temps.
Lorsque le transistor T1 est bloqué, la diode D2 se met à conduire pour assurer la continuité de courant. La charge voit alors une tension     Vch=-E/2. Le courant Ich diminue alors. Au passage du courant par 0, on envoie un signal de commande vers la base de T2. La diode D2 se bloque et le courant Ich continue à croître dans le sens opposé.
Au blocage de T2, la diode D1 prend la relève et la charge voit de nouveau une tension Vch=E/2. Au passage du courant par 0, on fait conduire T1 et le cycle reprend.
les onduleurs autonomes


 La stratégie de commande adoptée consiste à faire conduire le transistor dès que c’est possible (Au passage du courant par 0). Cette commande est dite symétrique ou adjacente.

C/ONDULEUR MONOPHASÉ NON ISOLÉ EN PONT :
Le montage comprend quatre thyristors qui peuvent être remplacés par des transistors utilisés comme interrupteurs électroniques ainsi que quatre diodes montées en parallèle inverse aux bornes des thyristors. Les circuits d’amorçage ou de blocage des thyristors ne sont pas représentés

les onduleurs autonomes

·    Commande symétrique :
Dans le cas d’une commande symétrique, l’amorçage des thyristors Th1 et Th4 a lieu en même temps, et il en est de même pour Th2 et Th3. La tension de sortie est rectangulaire, et sa valeur efficace est égale à E.
Lorsque les thyristors Th1 et Th4 sont amorcés, la charge voit Vch=E et le courant augmente exponentiellement (Charge RL). En bloquant ces derniers (Circuit de commutation forcée), la continuité de courant sera assurée par les diodes D2 et D3 et la charge voit Vch=-E.
Au passage du courant par 0, on amorce Th2 et Th3. Le courant continue à circuler dans la charge en sens opposé. En bloquant ces derniers, les diodes D1 et D4 conduisent et Vch=E. Lorsque le courant passe par 0, on réamorce Th1 et Th4.
les onduleurs autonomes

La tension de sortie est rectangulaire ; sa valeur efficace est égale à E.

·    Commande décalée :
La stratégie de commande est différente ; le but étant de pouvoir obtenir aux bornes de la charge des paliers à tension nulle.
Ainsi les thyristors ne sont pas commandés au blocage en même temps. 

les onduleurs autonomes



Lorsque les thyristors Th1 et Th4 conduisent, la charge est soumise à la tension Vch=E ; le courant croît exponentiellement. Lorsqu’on décide de bloquer le thyristor Th4, la diode D3 prend la relève pour assurer la continuité de courant. La charge est en roue libre et Vch=0. Lorsqu’on bloque le thyristor Th1 (décalé par rapport à Th4), la diode D2 conduit spontanément et la charge voit une tension Vch=-E.
A l’extinction du courant, on amorce les thyristors Th2 et Th3. Le courant progresse en sens opposé. Dès que le thyristor Th3 se bloque (par commutation forcée), la diode D2 se met à conduire et la charge se trouve de nouveau en roue libre.
Il est à noter que la vitesse de progression du courant en phase de roue libre est plus faible qu’en régime forcé (+E ou –E).


·    Valeur efficace obtenue en sortie :



les onduleurs autonomes

La valeur efficace en sortie dépend de la tension d’entrée E et de l’angle de la roue libre :

D/ONDULEUR MONOPHASÉ  ISOLÉ :

les onduleurs autonomes

 Cet onduleur comprend deux thyristors, un transformateur à point milieu, un condensateur de commutation C et une inductance série L.  Les deux thyristors, Th1 et Th2, sont à l’état passant à tour de rôle, ce qui produit des impulsions de courant de sens inverse, I1 et I2, dans les deux moitiés du primaire du transformateur. On obtient, au secondaire du transformateur, une tension alternative  de forme rectangulaire. Le condensateur de commutation C empêche les deux thyristors de laisser passer le courant en même temps, de sorte qu’il provoque le blocage d’un thyristor lorsque l’autre s’amorce.
   L’inductance de lissage L tend à garder un courant constant dans le circuit. Il en résulte que les courants I1 et I2 sont égaux et de forme rectangulaire.  Pour faire varier la fréquence de l’onduleur, il suffit de changer la fréquence des signaux appliqués sur les gachettes. On peut obtenir une fréquence comprise entre quelques hertz et 5 Khz, selon les caractéristiques du transformateur et des thyristors.

·    Formes d’ondes :


E/ONDULEUR TRIPHASÉ  EN PONT:

les onduleurs autonomes
Cet onduleur contient six thyristors (deux thyristors par bras) associées à six diodes en anti-dérivation. La charge est résistive.
Pour des puissances plus petites, les thyristors peuvent être remplacés par des transistors qui ne nécessitent pas de circuits d’extinction (commutation forcée).
Trois thyristors sont en conduction à chaque instant. Deux thyristors d’un même bras (Th1 et Th2 par exemple) sont amorcés à 180° de décalage. Les thyristors du bras voisin sont amorcés à 120° de décalage.
Cette stratégie de commande s’appelle commande 180°.
les onduleurs autonomes
·    Formes d’onde :

les onduleurs autonomes
La tension obtenue n’est pas sinusoïdale. Il convient d’employer un filtre pour extraire son fondamental ayant la même fréquence.
L’opération de filtrage n’est pas assez aisée pour ce type de structure : les harmoniques ne sont pas assez repoussés du terme fondamental. Ceci oblige à utiliser des filtres à ordre élevé ce qui n’est pas facile à mettre en œuvre. C’est pourquoi on a recours à une autre technique qui est la modulation de largeur d’impulsion MLI.

F/ONDULEUR A MODULATION DE LARGEUR D’IMPULSION MLI:

1/Problème du filtrage :
La tension en sortie du convertisseur continu/alternatif n’est pas sinusoïdale. En effet, les semi-conducteurs travaillant en commutation, la tension de sortie sera toujours constituée de  « morceaux » de tension continue. Cette tension non sinusoïdale peut être considérée comme la somme d’un fondamental (que l’on souhaite) et de tensions de fréquences multiples de celle du fondamental, les harmoniques (que l’on ne souhaite pas). Ces tensions harmoniques  provoquent la circulation de courants harmoniques.
L’objectif du filtrage dépend du système considéré :
·    Dans le cas des ASI, on souhaite une tension analogue à celle délivrée par le réseau donc sinusoïdale. On va donc filtrer la tension avec des condensateurs. L’impédance en alternatif d’un condensateur étant Zc  = 1/Cw, on voit que pour les harmoniques de tension de rang croissants, cette impédance est de plus en plus faible.
·    Dans le cas des variateurs de vitesse pour MAS, on souhaite que le courant soit sinusoïdal pour éviter les couples harmoniques générateurs de pertes et de vibrations. On va donc lisser le courant avec des inductances. L’impédance en alternatif d’une inductance étant Z L= Lw, on voit que pour les harmoniques de courants de rang croissants, cette impédance est de plus en plus grande.
Remarques :
 Dans le cas des MAS, l’inductance propre du stator suffit généralement à assurer un filtrage convenable.

2/Technique MLI :
les onduleurs autonomes

La modulation de largeur d’impulsion MLI , est une méthode qui consiste à introduire des commutations supplémentaires à fréquence plus élevées que la fréquence du fondamental, transformant la tension en une suite de créneaux d’amplitude fixe et de largeur variables .

Elle repousse vers les fréquences les plus élevées les harmoniques de la tension de sortie, ce qui facilite le filtrage.
Elle permet de faire varier la valeur du fondamental de la tension de sortie  comme elle permet de se rapprocher du signal sinusoïdal désiré.
Les spectres de fréquences suivants montrent l’effet de la technique MLI sur la distribution des harmoniques :

Spectre de fréquence aux bornes d’une charge RL alimentée par un onduleur monophasée en demi pont non isolé.


Spectre de fréquence dans le cas d’une commande MLI : disparition des harmoniques 3 et 5.








les onduleurs autonomes

La commande MLI est réalisée par comparaison d’une onde modulante basse fréquence à une onde porteuse haute fréquence de forme triangulaire.
les onduleurs autonomes

La commande à MLI présente une neutralisation efficace des harmoniques permettant ainsi de se rapprocher du signal sinusoïdal désiré.

G/APPLICATION : ALIMENTATION DE SECOURS.

      Les onduleurs autonomes à fréquence fixe sont surtout utilisés dans les alimentations de sécurité qui se subtituent automatiquement au réseau alternatif en cas de panne de courant. Ces alimentations de secours sont appellées UPS (Uninterruptible Power Supplies). La figure donne le schéma de principe d’un UPS.

Le système comprend :
·    Un redresseur chargeur régulé qui charge la batterie d’accumulateurs, tout en fournissant le courant nécessaire à l’onduleur.
·    Une batterie d’accumulateurs qui assure le fonctionnement autonome de l’onduleur lorsque le réseau alternatif est interrompu.
·    Un onduleur autonome qui fournit une tension de sortie alternative sinusoïdale régulée  à la fréquence de 50 Hz avec un taux  d’harmoniques qui est inférieur à 5%.
·    Des commutateurs électromécaniques qui permettent de relier le  réseau ou l’onduleur à la charge.
·    Un générateur diesel (groupe électrogène) qui démarre après un court délai lors de la panne de courant et qui s’arrête lorsque le courant est rétabli.
Les alimentations de secours sont surtout utilisées pour alimenter des équipements qui requièrent un fonctionnement permanent. Les applications les plus courantes sont :
·    l’alimentation d’ordinateurs ;
·    les systèmes de guidage d’avion (radio, radar). ;
·    le fonctionnement des blocs opératoires dans les hôpitaux ;
·    l’éclairage de sécurité de salle de conférence ;
·    les circuits d’alarme contre les incendies. 

Les onduleurs à fréquence variable sont surtout utilisés dans :
·    La commande de vitesse des moteurs alternatifs généralement asynchrones.
·    l’alimentation  des générateurs à ultra  son et de fours à induction.

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les onduleurs autonomes cours

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les onduleurs autonomes





Introduction :

Les onduleurs sont les convertisseurs statiques continu alternatif permettant de fabriquer une source de tension alternative à partir d’une source de tension continue.
Le signal alternatif en sortie peut être sinusoïdal ou non de fréquence fixe ou variable.
La figure montre le schéma symbolique de l’onduleur.

les onduleurs autonomes
Comme on l’a vu au chapitre 2 (Les Redresseurs), un redresseur commandé tout thyristors peut fonctionner en onduleur. Ce type d’onduleur est dit   « non autonome » ou encore « assisté » car il ne permet de fixer ni la fréquence ni la valeur efficace des tensions du réseau alternatif dans lequel il débite. On se propose dans ce chapitre d’étudier les onduleurs autonomes. Ces derniers fixent eux-mêmes la fréquence et la valeur efficace de leur tension de sortie.

Les onduleurs sont utilisés principalement dans deux types de systèmes :

— Les ASI : alimentations sans interruption, (UPS : uninterruptible supply system en anglais). Elles servent le plus souvent d’alimentation de secours pour des systèmes informatiques. La source de tension continue est généralement constituée d’une batterie d’accumulateurs. La fréquence et l’amplitude de la tension de sortie sont fixes.
— Les variateurs de vitesse pour machines asynchrones. La source continue est obtenue par redressement du réseau. La fréquence et l’amplitude de la tension de sortie sont variables.


A/GENERALITES :

Les onduleurs autonomes se classent en deux groupes :
·       Onduleurs à fréquence fixe. Ceux-ci sont utilisés comme alimentation de sécurité dans le centre hospitaliers, les centrales téléphoniques, les ordinateurs, etc. Ces onduleurs sont alimentés à partir d’une batterie d’accumulateurs.
·       Onduleurs à fréquence variable. Ceux-ci sont alimentés en courant continu à partir du réseau alternatif par l’intermédiaire d’un redresseur. Ils fournissent des tensions de fréquence et d’amplitude variables utilisées pour contrôler la vitesse de moteurs à courant alternatif.


Les onduleurs autonomes se classent aussi d’après la forme d’onde de leur tension de sortie :
·       Onduleurs à onde rectangulaire : L’onde de sortie est rectangulaire. L’amplitude de l’onde de sortie dépend de la valeur de la tension d’entrée. 


les onduleurs autonomes

·       Onduleurs en créneaux de largeur variable : L’onde de sortie est constituée par des créneaux rectangulaires alternatifs et séparés par une zone morte à tension nulle. La tension de sortie varie si on agit sur la durée des créneaux. 


les onduleurs autonomes
·       Onduleurs à modulation d’impulsion (PWM) : L’onde de sortie est formée de trains d’impulsions positifs et négatifs, de largeur et d’espacement variable.  La résultante de la forme de sortie se rapproche d’une sinusoïde.


B/ONDULEUR MONOPHASÉ NON ISOLÉ EN DEMI PONT :

1/ Débit sur charge résistive :

les onduleurs autonomes



Les deux condensateurs constituent un diviseur de tension. Si leurs capacités sont assez élevées, la tension aux bornes de chacun serait constante et égale à E/2.
La charge est constituée d’une résistance pure.
Lorsque le transistor T1 est conducteur, la charge voit une tension Vch=E/2.
Lorsque le transistor T2 est conducteur, la charge voit une tension Vch=-E/2.
Si les transistors conduisent pendant les mêmes intervalles de temps, la commande est dite symétrique.
La tension Vch est alors rectangulaire. Le courant Ich possède la même forme.
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2/ Débit sur charge inductive (Charge RL) :
les onduleurs autonomes

On met des diodes en parallèle avec les transistors. Leur rôle est d’assurer la continuité de courant. En effet, une charge inductive ne supporte pas l’interruption brusque de courant. Ainsi, après le blocage de T1 le courant Ich continue à circuler à travers la diode D2 qui conduit spontanément.
Lorsque le transistor T1 conduit, la charge voit une tension Vch=E/2.
Le courant Ich croît exponentiellement selon une constante de temps.
Lorsque le transistor T1 est bloqué, la diode D2 se met à conduire pour assurer la continuité de courant. La charge voit alors une tension     Vch=-E/2. Le courant Ich diminue alors. Au passage du courant par 0, on envoie un signal de commande vers la base de T2. La diode D2 se bloque et le courant Ich continue à croître dans le sens opposé.
Au blocage de T2, la diode D1 prend la relève et la charge voit de nouveau une tension Vch=E/2. Au passage du courant par 0, on fait conduire T1 et le cycle reprend.
les onduleurs autonomes


 La stratégie de commande adoptée consiste à faire conduire le transistor dès que c’est possible (Au passage du courant par 0). Cette commande est dite symétrique ou adjacente.

C/ONDULEUR MONOPHASÉ NON ISOLÉ EN PONT :
Le montage comprend quatre thyristors qui peuvent être remplacés par des transistors utilisés comme interrupteurs électroniques ainsi que quatre diodes montées en parallèle inverse aux bornes des thyristors. Les circuits d’amorçage ou de blocage des thyristors ne sont pas représentés

les onduleurs autonomes

·    Commande symétrique :
Dans le cas d’une commande symétrique, l’amorçage des thyristors Th1 et Th4 a lieu en même temps, et il en est de même pour Th2 et Th3. La tension de sortie est rectangulaire, et sa valeur efficace est égale à E.
Lorsque les thyristors Th1 et Th4 sont amorcés, la charge voit Vch=E et le courant augmente exponentiellement (Charge RL). En bloquant ces derniers (Circuit de commutation forcée), la continuité de courant sera assurée par les diodes D2 et D3 et la charge voit Vch=-E.
Au passage du courant par 0, on amorce Th2 et Th3. Le courant continue à circuler dans la charge en sens opposé. En bloquant ces derniers, les diodes D1 et D4 conduisent et Vch=E. Lorsque le courant passe par 0, on réamorce Th1 et Th4.
les onduleurs autonomes

La tension de sortie est rectangulaire ; sa valeur efficace est égale à E.

·    Commande décalée :
La stratégie de commande est différente ; le but étant de pouvoir obtenir aux bornes de la charge des paliers à tension nulle.
Ainsi les thyristors ne sont pas commandés au blocage en même temps. 

les onduleurs autonomes



Lorsque les thyristors Th1 et Th4 conduisent, la charge est soumise à la tension Vch=E ; le courant croît exponentiellement. Lorsqu’on décide de bloquer le thyristor Th4, la diode D3 prend la relève pour assurer la continuité de courant. La charge est en roue libre et Vch=0. Lorsqu’on bloque le thyristor Th1 (décalé par rapport à Th4), la diode D2 conduit spontanément et la charge voit une tension Vch=-E.
A l’extinction du courant, on amorce les thyristors Th2 et Th3. Le courant progresse en sens opposé. Dès que le thyristor Th3 se bloque (par commutation forcée), la diode D2 se met à conduire et la charge se trouve de nouveau en roue libre.
Il est à noter que la vitesse de progression du courant en phase de roue libre est plus faible qu’en régime forcé (+E ou –E).


·    Valeur efficace obtenue en sortie :



les onduleurs autonomes

La valeur efficace en sortie dépend de la tension d’entrée E et de l’angle de la roue libre :

D/ONDULEUR MONOPHASÉ  ISOLÉ :

les onduleurs autonomes

 Cet onduleur comprend deux thyristors, un transformateur à point milieu, un condensateur de commutation C et une inductance série L.  Les deux thyristors, Th1 et Th2, sont à l’état passant à tour de rôle, ce qui produit des impulsions de courant de sens inverse, I1 et I2, dans les deux moitiés du primaire du transformateur. On obtient, au secondaire du transformateur, une tension alternative  de forme rectangulaire. Le condensateur de commutation C empêche les deux thyristors de laisser passer le courant en même temps, de sorte qu’il provoque le blocage d’un thyristor lorsque l’autre s’amorce.
   L’inductance de lissage L tend à garder un courant constant dans le circuit. Il en résulte que les courants I1 et I2 sont égaux et de forme rectangulaire.  Pour faire varier la fréquence de l’onduleur, il suffit de changer la fréquence des signaux appliqués sur les gachettes. On peut obtenir une fréquence comprise entre quelques hertz et 5 Khz, selon les caractéristiques du transformateur et des thyristors.

·    Formes d’ondes :


E/ONDULEUR TRIPHASÉ  EN PONT:

les onduleurs autonomes
Cet onduleur contient six thyristors (deux thyristors par bras) associées à six diodes en anti-dérivation. La charge est résistive.
Pour des puissances plus petites, les thyristors peuvent être remplacés par des transistors qui ne nécessitent pas de circuits d’extinction (commutation forcée).
Trois thyristors sont en conduction à chaque instant. Deux thyristors d’un même bras (Th1 et Th2 par exemple) sont amorcés à 180° de décalage. Les thyristors du bras voisin sont amorcés à 120° de décalage.
Cette stratégie de commande s’appelle commande 180°.
les onduleurs autonomes
·    Formes d’onde :

les onduleurs autonomes
La tension obtenue n’est pas sinusoïdale. Il convient d’employer un filtre pour extraire son fondamental ayant la même fréquence.
L’opération de filtrage n’est pas assez aisée pour ce type de structure : les harmoniques ne sont pas assez repoussés du terme fondamental. Ceci oblige à utiliser des filtres à ordre élevé ce qui n’est pas facile à mettre en œuvre. C’est pourquoi on a recours à une autre technique qui est la modulation de largeur d’impulsion MLI.

F/ONDULEUR A MODULATION DE LARGEUR D’IMPULSION MLI:

1/Problème du filtrage :
La tension en sortie du convertisseur continu/alternatif n’est pas sinusoïdale. En effet, les semi-conducteurs travaillant en commutation, la tension de sortie sera toujours constituée de  « morceaux » de tension continue. Cette tension non sinusoïdale peut être considérée comme la somme d’un fondamental (que l’on souhaite) et de tensions de fréquences multiples de celle du fondamental, les harmoniques (que l’on ne souhaite pas). Ces tensions harmoniques  provoquent la circulation de courants harmoniques.
L’objectif du filtrage dépend du système considéré :
·    Dans le cas des ASI, on souhaite une tension analogue à celle délivrée par le réseau donc sinusoïdale. On va donc filtrer la tension avec des condensateurs. L’impédance en alternatif d’un condensateur étant Zc  = 1/Cw, on voit que pour les harmoniques de tension de rang croissants, cette impédance est de plus en plus faible.
·    Dans le cas des variateurs de vitesse pour MAS, on souhaite que le courant soit sinusoïdal pour éviter les couples harmoniques générateurs de pertes et de vibrations. On va donc lisser le courant avec des inductances. L’impédance en alternatif d’une inductance étant Z L= Lw, on voit que pour les harmoniques de courants de rang croissants, cette impédance est de plus en plus grande.
Remarques :
 Dans le cas des MAS, l’inductance propre du stator suffit généralement à assurer un filtrage convenable.

2/Technique MLI :
les onduleurs autonomes

La modulation de largeur d’impulsion MLI , est une méthode qui consiste à introduire des commutations supplémentaires à fréquence plus élevées que la fréquence du fondamental, transformant la tension en une suite de créneaux d’amplitude fixe et de largeur variables .

Elle repousse vers les fréquences les plus élevées les harmoniques de la tension de sortie, ce qui facilite le filtrage.
Elle permet de faire varier la valeur du fondamental de la tension de sortie  comme elle permet de se rapprocher du signal sinusoïdal désiré.
Les spectres de fréquences suivants montrent l’effet de la technique MLI sur la distribution des harmoniques :

Spectre de fréquence aux bornes d’une charge RL alimentée par un onduleur monophasée en demi pont non isolé.


Spectre de fréquence dans le cas d’une commande MLI : disparition des harmoniques 3 et 5.








les onduleurs autonomes

La commande MLI est réalisée par comparaison d’une onde modulante basse fréquence à une onde porteuse haute fréquence de forme triangulaire.
les onduleurs autonomes

La commande à MLI présente une neutralisation efficace des harmoniques permettant ainsi de se rapprocher du signal sinusoïdal désiré.

G/APPLICATION : ALIMENTATION DE SECOURS.

      Les onduleurs autonomes à fréquence fixe sont surtout utilisés dans les alimentations de sécurité qui se subtituent automatiquement au réseau alternatif en cas de panne de courant. Ces alimentations de secours sont appellées UPS (Uninterruptible Power Supplies). La figure donne le schéma de principe d’un UPS.

Le système comprend :
·    Un redresseur chargeur régulé qui charge la batterie d’accumulateurs, tout en fournissant le courant nécessaire à l’onduleur.
·    Une batterie d’accumulateurs qui assure le fonctionnement autonome de l’onduleur lorsque le réseau alternatif est interrompu.
·    Un onduleur autonome qui fournit une tension de sortie alternative sinusoïdale régulée  à la fréquence de 50 Hz avec un taux  d’harmoniques qui est inférieur à 5%.
·    Des commutateurs électromécaniques qui permettent de relier le  réseau ou l’onduleur à la charge.
·    Un générateur diesel (groupe électrogène) qui démarre après un court délai lors de la panne de courant et qui s’arrête lorsque le courant est rétabli.
Les alimentations de secours sont surtout utilisées pour alimenter des équipements qui requièrent un fonctionnement permanent. Les applications les plus courantes sont :
·    l’alimentation d’ordinateurs ;
·    les systèmes de guidage d’avion (radio, radar). ;
·    le fonctionnement des blocs opératoires dans les hôpitaux ;
·    l’éclairage de sécurité de salle de conférence ;
·    les circuits d’alarme contre les incendies. 

Les onduleurs à fréquence variable sont surtout utilisés dans :
·    La commande de vitesse des moteurs alternatifs généralement asynchrones.
·    l’alimentation  des générateurs à ultra  son et de fours à induction.

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LES MICROCONTROLEURS

PRESENTATION D’UN MICROCONTROLEUR

Objectifs :
ü  Identifier un microcontrôleur.
ü  Réaliser des applications à bases de microcontrôleurs.
I- MISE EN SITATION
   I-1- Activité de découverte :
     Réaliser l’activité de découverte du manuel d’activités 
II- EXEMPLE DE SYSTEMES A BASE DE MICROCONTROLEUR :
Les systèmes et les objets techniques à base de microcontrôleur(s), prennent de plus en plus de place dans notre quotidien :
                                     v Téléviseur             v Téléphone mobile
                                     v Lave linge              v Clé USB et Playstation
   II-1- Activité :
Commande classique d’une perceuse :


Commande par microcontrôleur :


Le microcontrôleur à pour rôle de gérer le fonctionnement de la perceuse. 

    Observer les animations de la perceuse, des feux tricolores et de l’afficheur 7 segments.
   II-2- Avantages:
Le microcontrôleur présente les avantages suivants :
ü  La simplicité de mise en œuvre ;
ü  La grande capacité de traitement ;
ü  Le coût relativement faible.
III- TYPE ET MODELE USUELS DE MICROCONTROLEUR :
   III-1- Activité :

    1- Relever l’identification des microcontrôleurs sur les systèmes présentés précédemment :             
16 C 84
    2- En se référant au document technologique, déterminer les différentes familles des
         Microcontrôleurs :
Microchip, Atmel, Philips et Motorola
    3- Réaliser l’activité 1 du manuel d’activité TP A4-1 page 48.


Remarque :
On fait l’étude des microcontrôleurs de Microchip soit le 16F84.
Les microcontrôleurs de Microchip sont désignés par le synonyme PIC.
                 P                             I                        C
                    Programmable           integred               circuit.
                    Programmable           intelligent            circuit.
IV- IDENTIFICATIONS DES MICROCONTROLEURS DE MICROCHIP :
Les microcontrôleurs de Microchip sont désignés par le synonyme PIC (Peripheral Interface Controller).
Un PIC est généralement identifié par une référence de la forme suivante :
xxXXyy-zz
§ xx : famille du composant, actuellement « 12, 14, 16, 17 et 18 ».
§ Il existe trois familles de PIC :
      - Base-Line : les instructions sont codées sur 12 bits.
      - Mid-Line : les instructions sont codées sur 14 bits.
       - High-Line : les instructions sont codées sur 16 bits.
§ XX : type de mémoire programme :
                - C : EPROM ou EEPROM ;
                - CR : PROM ;
                - F : Flash ;
§ yy : Identificateur ;
§ zz : vitesse maximale du quartz de pilotage.
Exemple :


   IV-1- Activité :
     Réaliser l’activité 2 du manuel d’activités TP A4-1 page 49.
Cette architecture, fait apparaître les modules suivants :
§ Une unité centrale ou CPU (Central Processing Unit) : exécute séquentiellement les instructions du programme.
§ Une mémoire Flash, cette mémoire à la particularité de sauvegarder en permanence les informations qu’elle contient même en absence de tension.
§ Une mémoire vive également appelée RAM (Random Access Memory) : sauvegarder temporairement des informations (circuit alimenté).
    Le microcontrôleur peut être utilisé pour stocker des variables temporelles ou faire des calculs
    intermédiaires.
§ Des ports entrées-sorties permettant de dialoguer avec l’extérieur tel que l’acquisition de l’état des capteurs, des interrupteurs, ou encore le pilote d’un relais ( via de transistor)…etc.
   VI-1- Activité :
Réaliser l’activité 4 du manuel d’activités TP A4-1 page 50.
VI- CRITERE DE CHOIX D’UN MICROCONTROLEUR :
Le choix judicieux d’un microcontrôleur, pour une application donnée dépend :
v Du nombre d’entrées/sorties de l’application cible ;
v Du type de mémoire programme : flash, Eprom, OTP… et de sa taille ;
v De la présence ou de l’absence des convertisseurs Analogiques/Numériques CAN ;
v De l’existence ou non d’une mémoire EEPROM ;
v De l’existence ou non d’un bus I2C.
Viennent ensuite les critères suivants :
v La disponibilité du composant sur le marché local ;
v La facilité de mise en œuvre ;
v Le prix ;
v L’approvisionnement multi source.

ARCHITECTURE DU MICROCONTROLEUR 16 F84 de MICROCHIP


V- BROCHAGE :
   V-1- Exemple de PIC :

 V-2- Activité :
     Réaliser l’activité 3 du manuel d’activités TP A4-1 page 49.

VI- STRUCTURE INTERNE D’UN MICROCONTROLEUR :



LES MICROCONTROLEURS

PRESENTATION D’UN MICROCONTROLEUR

GUIDE
I- INTRODUCTION :
L’évolution amène de plus en plus souvent les concepteurs, à remplacer la commande câblée, généralement à base de nombreux circuits intégrés, par un seul et unique circuit programmable, capable à lui seul de remplir toutes les fonctions exigées par le système.
Parmi les circuits qui font partie de cette famille, on cite les : PLD, CPLD, FPLD, les microcontrôleurs.
Un microcontrôleur peut être assimilé à un circuit logique complexe exécutant une à une des ordres (instructions) enregistrés dans une mémoire de programme externe.
Le grand avantage de cette logique programmation est que la modification d’une fonction ou d’une tache ne nécessite pas de câblage supplémentaire, mais uniquement un nouveau programme à loger en mémoire.
L’année 1970 a connu la fabrication du 1er microcontrôleur 4004 par Intel : essor de la logique programmé.
Un microcontrôleur est un microprocesseur auquel on a intégré les périphériques tels que RAM, ROM, les entrées-sorties dans le même circuit. Les montages et les applications deviennent encore plus simple à mettre en œuvre, avec un gain de temps de vitesse et un coût réduit.
II- TYPE DE MICROCONTROLEUR :
v Plusieurs types de microcontrôleurs :
Microchip : PIC ; familles 12Cxxx, 16Cxxx, 16Fxxx, 18Fxxx, …
v  Atmel: AT; familles AT89Sxxxx, AT90xxxx, …
v  Philips: P89C51RD2BPN,  …
v  Motorola: famille 68HCxxx, …
   II-1- Microchip :
Nom
Description
Fabricant
Spécifications De Programmation De Mémoire d'cEprom
Microchip
8-Goupilles/microcontrôleur de 8 bits de CMOS avec de la mémoire ANALOGIQUE-numérique de convertisseur et de données d'cEeprom
Microchip
Les 8-Goupilles Flash-Ont basé Des Microcontrôleurs De 8-Bit CMOS
Microchip
8-Goupilles, microcontrôleur de 8-Bit CMOS avec de la mémoire ANALOGIQUE-NUMÉRIQUE de convertisseur et de données d'EEPROM
Microchip
Microcontrôleur De 8 bits EPROM-Basé de CMOS
Microchip
Microcontrôleur De 8 bits EPROM-Basé de CMOS
Microchip
Microcontrôleurs De 8 bits Flash-Basés de CMOS
Microchip
Microcontrôleurs De 8 bits De la 18-goupille Flash/EEPROM
Microchip
La 18-goupille A augmenté Le Microcontrôleur De 8 bits De Flash/EEPROM
Microchip
Microcontrôleurs INSTANTANÉS De 8 bits Des 28/40-Goupilles CMOS
Microchip


II-2- Atmel :
Devices
F.max (MHz)
CPU Core
Power Supply (V)
Pb-Free Packages
75
ARM7TDMI
1.65 -1.95 Core
2.7-3.6 IO
40
ARM7TDMI
1.8-3.6
75
ARM7TDMI
1.65-1.95 Core
2.7-3.6 IO
66
ARM7TDMI
1.65-1.95 Core
1.65-3.6 IO
60
ARM7TDMI
3.0-3.6
55
ARM7TDMI
3.0-3.6
55
ARM7TDMI
3.0-3.6
48
ARM7TDMI
3.0-3.6
48
ARM7TDMI
3.0-3.6
48
ARM7TDMI
3.0-3.3
55
ARM7TDMI
3.0-3.6
55
ARM7TDMI
3.0-3.6
180
ARM926EJ-S
1.65-1.95 Core
3.0-3.6 IO

   II-3- Philips :
Microcontrôleur Philips 80C552

Microcontrôleur Philips cmos 8 bits dérivé du 80C51, remplaçant le PCB80C552-5-24WP. Caractéristiques: 256 octets de RAM - 64 K de programme - 64 K de données - 40 lignes d'E/S bidirectionnelles et adressables individuellement - 8 lignes d'entrées analogiques ou digitales - convertisseur A/D 10 bits 8 canaux - 2 sorties PWM 8 bits - 3 timer/compteurs 16 bits - watchdog timer - full duplex USART - interface I²C - 15 interruptions internes (2 niveaux de priorité) - 6 interruptions externes - Fréquence d'horloge: 24 MHz. Alim.: 5 V. Boîtier PLCC68.
 
Microcontrôleurs Philips 87xxx

MICROCONTROLEURS 87C75x
Microcontrôleurs Philips cmos 8 bits série 87C750/1. Caractéristiques: 64 octets de RAM - 19 lignes d'E/S bidirectionnelles et adressables individuellement - sorties pour la commande directe de LEDs - timer/compteur 16 bits - 5 interruptions internes - 2 interruptions externes - Alimentation: 5 V. Boîtiers DIL24 et DIL28.
 

MICROCONTROLEURS 87C5x
Microcontrôleurs Philips 8 bits dérivés du 80C51 à faible consommation. 32 E/S. 3 temporisateurs/compteurs 16 bits. 6 sources d'interruption. Port E/S série. UART full duplex. Alimentation de 2.7V à 5.5 V.


MICROCONTROLEURS 87LPCxxx
Microcontrôleurs Philips 8 bits dérivés du 8051 - alimentation de 2.7 à 6.0 Vcc - watchdog intégré - 2 timers/compteurs 16 bits - 2 comparateurs analogiques - UART full duplex - bus I²C.
 

Référence
OTP
RAM
BOITIER
CODE
Prix ttc
P87LPC762BN
2kB
128 x 8
DIL20
3.90 €
P87LPC764BN
4kB
128 x 8
DIL20
5.30 €
P87LPC767BN
2kB
128 x 8
DIL20
5.90 €
P87LPC768BN
2kB
128 x 8
DIL20
7.90 €

MICROCONTROLEUR P89C51RD2HBP
Microcontrôleur Philips ISP cmos 8 bits dérivé du 80C51 - remplace le P89C81RD+IN - programmation possible sur le circuit sans démonter le composant - 512 x 8 octets de RAM - 64 kB de mémoire flash - 4 ports R/S 8 bits - 3 temporisateurs 16 bits - Fréquence d'horloge: 33 MHz - boîtier DIP40.
 

   II-3- Motorola :
Nom de partie
Description
Fabricant
Microcontrôleur
Freescale (Motorola)
Microcontrôleur
Freescale (Motorola)
Microcontrôleur
Freescale (Motorola)
Microcontrôleur
Freescale (Motorola)
Microcontrôleur
Freescale (Motorola)
Microcontrôleur
Freescale (Motorola)
Microcontrôleur
Freescale (Motorola)
Microcontrôleur
Freescale (Motorola)

III- CARACTERISTIQUES GENERALES DES PIC :
 w Caractéristiques du PIC 16 F 84
- Boitier DIL 18
- 10MHz fréquence maximale.
- 1 KO de mémoire Flash pour le programme.
- 68 octets de RAM ; 64 octets d’Eprom.
- 13 E/S configurables.




IV- IDENTIFICATION DES MICROCONTROLEURS DE MICROCHIP:
w Exemple de PIC 16 F 84 :




¨     PIN 17, 18, 1, 2,3 : lignes d’E/S du port A, avec RA4 (PIN3) joue également le rôle d’entrée d’horloge du timer.
¨     PIN4 : MCLR/ est une broche active à 0, elle permet le reset du pic lorsqu’elle est à l’état bas.
¨     PIN5 : est le 0v de l’alimentation
¨     PIN6, 7, 8, 9, 10, 11, 12,13 : lignes d’E/S du port B, avec RB4 (PIN6) peut être utilisé également comme entrés d’interruption
¨     PIN14 : VDD est relié au +5v de l’alimentation











cours microcontroleur pic 16f84

Unknown   at  08:16  



LES MICROCONTROLEURS

PRESENTATION D’UN MICROCONTROLEUR

Objectifs :
ü  Identifier un microcontrôleur.
ü  Réaliser des applications à bases de microcontrôleurs.
I- MISE EN SITATION
   I-1- Activité de découverte :
     Réaliser l’activité de découverte du manuel d’activités 
II- EXEMPLE DE SYSTEMES A BASE DE MICROCONTROLEUR :
Les systèmes et les objets techniques à base de microcontrôleur(s), prennent de plus en plus de place dans notre quotidien :
                                     v Téléviseur             v Téléphone mobile
                                     v Lave linge              v Clé USB et Playstation
   II-1- Activité :
Commande classique d’une perceuse :


Commande par microcontrôleur :


Le microcontrôleur à pour rôle de gérer le fonctionnement de la perceuse. 

    Observer les animations de la perceuse, des feux tricolores et de l’afficheur 7 segments.
   II-2- Avantages:
Le microcontrôleur présente les avantages suivants :
ü  La simplicité de mise en œuvre ;
ü  La grande capacité de traitement ;
ü  Le coût relativement faible.
III- TYPE ET MODELE USUELS DE MICROCONTROLEUR :
   III-1- Activité :

    1- Relever l’identification des microcontrôleurs sur les systèmes présentés précédemment :             
16 C 84
    2- En se référant au document technologique, déterminer les différentes familles des
         Microcontrôleurs :
Microchip, Atmel, Philips et Motorola
    3- Réaliser l’activité 1 du manuel d’activité TP A4-1 page 48.


Remarque :
On fait l’étude des microcontrôleurs de Microchip soit le 16F84.
Les microcontrôleurs de Microchip sont désignés par le synonyme PIC.
                 P                             I                        C
                    Programmable           integred               circuit.
                    Programmable           intelligent            circuit.
IV- IDENTIFICATIONS DES MICROCONTROLEURS DE MICROCHIP :
Les microcontrôleurs de Microchip sont désignés par le synonyme PIC (Peripheral Interface Controller).
Un PIC est généralement identifié par une référence de la forme suivante :
xxXXyy-zz
§ xx : famille du composant, actuellement « 12, 14, 16, 17 et 18 ».
§ Il existe trois familles de PIC :
      - Base-Line : les instructions sont codées sur 12 bits.
      - Mid-Line : les instructions sont codées sur 14 bits.
       - High-Line : les instructions sont codées sur 16 bits.
§ XX : type de mémoire programme :
                - C : EPROM ou EEPROM ;
                - CR : PROM ;
                - F : Flash ;
§ yy : Identificateur ;
§ zz : vitesse maximale du quartz de pilotage.
Exemple :


   IV-1- Activité :
     Réaliser l’activité 2 du manuel d’activités TP A4-1 page 49.
Cette architecture, fait apparaître les modules suivants :
§ Une unité centrale ou CPU (Central Processing Unit) : exécute séquentiellement les instructions du programme.
§ Une mémoire Flash, cette mémoire à la particularité de sauvegarder en permanence les informations qu’elle contient même en absence de tension.
§ Une mémoire vive également appelée RAM (Random Access Memory) : sauvegarder temporairement des informations (circuit alimenté).
    Le microcontrôleur peut être utilisé pour stocker des variables temporelles ou faire des calculs
    intermédiaires.
§ Des ports entrées-sorties permettant de dialoguer avec l’extérieur tel que l’acquisition de l’état des capteurs, des interrupteurs, ou encore le pilote d’un relais ( via de transistor)…etc.
   VI-1- Activité :
Réaliser l’activité 4 du manuel d’activités TP A4-1 page 50.
VI- CRITERE DE CHOIX D’UN MICROCONTROLEUR :
Le choix judicieux d’un microcontrôleur, pour une application donnée dépend :
v Du nombre d’entrées/sorties de l’application cible ;
v Du type de mémoire programme : flash, Eprom, OTP… et de sa taille ;
v De la présence ou de l’absence des convertisseurs Analogiques/Numériques CAN ;
v De l’existence ou non d’une mémoire EEPROM ;
v De l’existence ou non d’un bus I2C.
Viennent ensuite les critères suivants :
v La disponibilité du composant sur le marché local ;
v La facilité de mise en œuvre ;
v Le prix ;
v L’approvisionnement multi source.

ARCHITECTURE DU MICROCONTROLEUR 16 F84 de MICROCHIP


V- BROCHAGE :
   V-1- Exemple de PIC :

 V-2- Activité :
     Réaliser l’activité 3 du manuel d’activités TP A4-1 page 49.

VI- STRUCTURE INTERNE D’UN MICROCONTROLEUR :



LES MICROCONTROLEURS

PRESENTATION D’UN MICROCONTROLEUR

GUIDE
I- INTRODUCTION :
L’évolution amène de plus en plus souvent les concepteurs, à remplacer la commande câblée, généralement à base de nombreux circuits intégrés, par un seul et unique circuit programmable, capable à lui seul de remplir toutes les fonctions exigées par le système.
Parmi les circuits qui font partie de cette famille, on cite les : PLD, CPLD, FPLD, les microcontrôleurs.
Un microcontrôleur peut être assimilé à un circuit logique complexe exécutant une à une des ordres (instructions) enregistrés dans une mémoire de programme externe.
Le grand avantage de cette logique programmation est que la modification d’une fonction ou d’une tache ne nécessite pas de câblage supplémentaire, mais uniquement un nouveau programme à loger en mémoire.
L’année 1970 a connu la fabrication du 1er microcontrôleur 4004 par Intel : essor de la logique programmé.
Un microcontrôleur est un microprocesseur auquel on a intégré les périphériques tels que RAM, ROM, les entrées-sorties dans le même circuit. Les montages et les applications deviennent encore plus simple à mettre en œuvre, avec un gain de temps de vitesse et un coût réduit.
II- TYPE DE MICROCONTROLEUR :
v Plusieurs types de microcontrôleurs :
Microchip : PIC ; familles 12Cxxx, 16Cxxx, 16Fxxx, 18Fxxx, …
v  Atmel: AT; familles AT89Sxxxx, AT90xxxx, …
v  Philips: P89C51RD2BPN,  …
v  Motorola: famille 68HCxxx, …
   II-1- Microchip :
Nom
Description
Fabricant
Spécifications De Programmation De Mémoire d'cEprom
Microchip
8-Goupilles/microcontrôleur de 8 bits de CMOS avec de la mémoire ANALOGIQUE-numérique de convertisseur et de données d'cEeprom
Microchip
Les 8-Goupilles Flash-Ont basé Des Microcontrôleurs De 8-Bit CMOS
Microchip
8-Goupilles, microcontrôleur de 8-Bit CMOS avec de la mémoire ANALOGIQUE-NUMÉRIQUE de convertisseur et de données d'EEPROM
Microchip
Microcontrôleur De 8 bits EPROM-Basé de CMOS
Microchip
Microcontrôleur De 8 bits EPROM-Basé de CMOS
Microchip
Microcontrôleurs De 8 bits Flash-Basés de CMOS
Microchip
Microcontrôleurs De 8 bits De la 18-goupille Flash/EEPROM
Microchip
La 18-goupille A augmenté Le Microcontrôleur De 8 bits De Flash/EEPROM
Microchip
Microcontrôleurs INSTANTANÉS De 8 bits Des 28/40-Goupilles CMOS
Microchip


II-2- Atmel :
Devices
F.max (MHz)
CPU Core
Power Supply (V)
Pb-Free Packages
75
ARM7TDMI
1.65 -1.95 Core
2.7-3.6 IO
40
ARM7TDMI
1.8-3.6
75
ARM7TDMI
1.65-1.95 Core
2.7-3.6 IO
66
ARM7TDMI
1.65-1.95 Core
1.65-3.6 IO
60
ARM7TDMI
3.0-3.6
55
ARM7TDMI
3.0-3.6
55
ARM7TDMI
3.0-3.6
48
ARM7TDMI
3.0-3.6
48
ARM7TDMI
3.0-3.6
48
ARM7TDMI
3.0-3.3
55
ARM7TDMI
3.0-3.6
55
ARM7TDMI
3.0-3.6
180
ARM926EJ-S
1.65-1.95 Core
3.0-3.6 IO

   II-3- Philips :
Microcontrôleur Philips 80C552

Microcontrôleur Philips cmos 8 bits dérivé du 80C51, remplaçant le PCB80C552-5-24WP. Caractéristiques: 256 octets de RAM - 64 K de programme - 64 K de données - 40 lignes d'E/S bidirectionnelles et adressables individuellement - 8 lignes d'entrées analogiques ou digitales - convertisseur A/D 10 bits 8 canaux - 2 sorties PWM 8 bits - 3 timer/compteurs 16 bits - watchdog timer - full duplex USART - interface I²C - 15 interruptions internes (2 niveaux de priorité) - 6 interruptions externes - Fréquence d'horloge: 24 MHz. Alim.: 5 V. Boîtier PLCC68.
 
Microcontrôleurs Philips 87xxx

MICROCONTROLEURS 87C75x
Microcontrôleurs Philips cmos 8 bits série 87C750/1. Caractéristiques: 64 octets de RAM - 19 lignes d'E/S bidirectionnelles et adressables individuellement - sorties pour la commande directe de LEDs - timer/compteur 16 bits - 5 interruptions internes - 2 interruptions externes - Alimentation: 5 V. Boîtiers DIL24 et DIL28.
 

MICROCONTROLEURS 87C5x
Microcontrôleurs Philips 8 bits dérivés du 80C51 à faible consommation. 32 E/S. 3 temporisateurs/compteurs 16 bits. 6 sources d'interruption. Port E/S série. UART full duplex. Alimentation de 2.7V à 5.5 V.


MICROCONTROLEURS 87LPCxxx
Microcontrôleurs Philips 8 bits dérivés du 8051 - alimentation de 2.7 à 6.0 Vcc - watchdog intégré - 2 timers/compteurs 16 bits - 2 comparateurs analogiques - UART full duplex - bus I²C.
 

Référence
OTP
RAM
BOITIER
CODE
Prix ttc
P87LPC762BN
2kB
128 x 8
DIL20
3.90 €
P87LPC764BN
4kB
128 x 8
DIL20
5.30 €
P87LPC767BN
2kB
128 x 8
DIL20
5.90 €
P87LPC768BN
2kB
128 x 8
DIL20
7.90 €

MICROCONTROLEUR P89C51RD2HBP
Microcontrôleur Philips ISP cmos 8 bits dérivé du 80C51 - remplace le P89C81RD+IN - programmation possible sur le circuit sans démonter le composant - 512 x 8 octets de RAM - 64 kB de mémoire flash - 4 ports R/S 8 bits - 3 temporisateurs 16 bits - Fréquence d'horloge: 33 MHz - boîtier DIP40.
 

   II-3- Motorola :
Nom de partie
Description
Fabricant
Microcontrôleur
Freescale (Motorola)
Microcontrôleur
Freescale (Motorola)
Microcontrôleur
Freescale (Motorola)
Microcontrôleur
Freescale (Motorola)
Microcontrôleur
Freescale (Motorola)
Microcontrôleur
Freescale (Motorola)
Microcontrôleur
Freescale (Motorola)
Microcontrôleur
Freescale (Motorola)

III- CARACTERISTIQUES GENERALES DES PIC :
 w Caractéristiques du PIC 16 F 84
- Boitier DIL 18
- 10MHz fréquence maximale.
- 1 KO de mémoire Flash pour le programme.
- 68 octets de RAM ; 64 octets d’Eprom.
- 13 E/S configurables.




IV- IDENTIFICATION DES MICROCONTROLEURS DE MICROCHIP:
w Exemple de PIC 16 F 84 :




¨     PIN 17, 18, 1, 2,3 : lignes d’E/S du port A, avec RA4 (PIN3) joue également le rôle d’entrée d’horloge du timer.
¨     PIN4 : MCLR/ est une broche active à 0, elle permet le reset du pic lorsqu’elle est à l’état bas.
¨     PIN5 : est le 0v de l’alimentation
¨     PIN6, 7, 8, 9, 10, 11, 12,13 : lignes d’E/S du port B, avec RB4 (PIN6) peut être utilisé également comme entrés d’interruption
¨     PIN14 : VDD est relié au +5v de l’alimentation











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Discussion

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